Aller au contenu

Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/132

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Ou l’aboiement d’un chien, ou le cri d’un enfant,
Ou le sanglot d’un orgue au lointain s’étouffant,
Ou le tintement clair d’une tardive enclume,
Voir la nuit qui s’étoile et Paris qui s’allume.