Aller au contenu

Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t2, 1892.djvu/248

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

deux lança la tête échevelée,
Bien loin, au beau milieu de la foule affolée
Qui la reçut avec un râle de plaisir ;
Puis, joyeux et montrant du geste à son vizir
Ce peuple qu’enivraient son crime et sa présence :

« Et maintenant, dit-il, ils me prendront Byzance ! »