Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t2, 1892.djvu/332

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et j’ai dit enfin au vautour : « Dévore
Ce cœur trop plein d’elle, et prends-en ta part !
Laisse ce qui peut être intact encore. »
       Le vautour m’a dit : « C’est trop tard ! »