Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t2, 1892.djvu/338

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Vous aurez beau faire et beau dire,
Dût-elle même l’ignorer,
Je veux, fidèle à mon martyre,
       La pleurer.
 
Vous aurez beau dire et beau faire,
Seule, elle peut mon mal guérir,
Et j’aime mieux, s’il persévère,
       En mourir.