Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t2, 1892.djvu/83

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Sans y trouver l’oubli, tu cherchais les tumultes,
L’orgie et ses chansons, la gloire et ses insultes,
Et les longues clameurs de la mer et du vent.

Qui donc à ta douleur imposa le silence ?
— Ô solitaire, il a suffi de la cadence
Que marque le berceau de mon petit enfant.