Aller au contenu

Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t2, 1892.djvu/87

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Il ne put supporter la fraîcheur du feuillage
Et mourut, en donnant, le jour de son trépas,
Une dernière fleur que l’oiseau ne vit pas.
— Comment, vous soupirez et vous baissez la tête,
Madame ?… Un liseron adore une fauvette.