Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/255

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Mais j’aime tout de ce que j’aime ;
Et ton front, si frais et si doux,
M’attire davantage même
Constellé de quelques points roux.

Quand à mes lèvres tu le portes
D’un geste amoureux, je crois voir
La neige d’or des feuilles mortes
Sur le ciel vermeil d’un beau soir.