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trant le brick du bout de son sabre ! Mais, capitaine, voulez-vous, pour rendre nos voiles plus étanches avec la brise qui les a séchées, que je fasse monter sur les vergues des seilles d’eau avec lesquelles nos hommes arroseront la toile ?
— Fais ce que tu voudras ; et ensuite, comme notre brick-goëlette demande à être un peu sur l’arrière, et que nous n’avons pu le mettre en tonture avant ce départ précipité, fais passer une partie des noirs dans la chambre.
On arrose les voiles, l’eau de mer ruisselle de dessus les vergues, sur les fonds et le long des ralingues ; on plombe l’arrière avec du lest volant. La Rosalie coule alors avec plus de rapidité sur une belle mer et avec la brise qui s’arrondit.