Page:Corbière - Les Amours jaunes, 1873.djvu/81

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Son âme, son carcan, sa vie !
… Et je me sens m’éteindre. — Il dort —

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


— Dors encor : la Bête est calmée,
File ton rêve jusqu’au bout…
Mon Pauvre !… la fumée est tout.
— S’il est vrai que tout est fumée…


(Paris. — Janvier.)