ceux du corps: mais, loin deire au ciel les seuls guérisseurs, ils partagent avec mainte autre divinité, ainsi que nous allons le voir, ces importantes fonctions. Indra (1), en effet, est à plusieurs reprises cité comme un sauveur et un guérisseur (vm, 1, d2; 88, K - B i; il prend soin des abandonnés (iv, 30, 19 - Bt, il rend la vue aux aveugles, une marche sûre aux boiteux (h. l.i. 12; W 7-H). il fortifie les amaigris et les épuisés (II. 12. ()-lt). il remet les membres en place (iv. 111. 9-B). il rend les femmes fécondes (iv. 10. 7-B).
Agni. le feu céleste dat. ignis), est aussi révéré, par les épouses qu'il bénit dans leur progéniture (x, 8(t. I-B). parles malheureux dont ii est le père (i. .tl, U-B), par l'aveugle Dirgha- tamas. qu'il soigne. Tous deux (Indra et Agnit sont invoqués à la fois contre les maladies (x. 101. 1-B». surtout contrôla phtisie ou consomption [ràjajaxmaii| ( viu. vni. 19. 1-1, ). — mais ils le cèdent cepend-inten mérite à S<)ma, qui est tout ensemble le dieu du sacrifice, le soleil, la lune, l'éclair, la foudre d'Indra, le roi des plantes, et qui sur leire préside à cette liqueur eni- viante iSôma terrestre) tirée du suc purifié de l'herbe andha : (Asclepias acida. ou Sarcostemma viminalis). nlframle [uir excellence et lemède à toutes les maladies (in. (i"2, l/i; ix. STk I ; 97. ft.i-B). Dans le corps, le sôraa, ou indu, se transforme en graisse (I, 187, 10-B), dniinée physiologique utile à constater dès à présent ; « pris au lever du soleil, c'est le médicament du malade» (viii, 01. 17-B). « il guérit tout ce qui est malade (vui, ()8, i-\i), il prolonge la vie (viif.08. 0; m, (>2, l."»; x, 'û, .'î,
- 59, ^i. 7-B) », et on lui dit
- « .Apporte-nous l'abondance et la
santé... écarte toujours les maladies. » (ix, 90. 10; ix, 97, 'i;i-B). Par lui. « l'aveugle a vu, le paralytique a recouvré le mouve- ment. » iviK. 08, 2-B). Nous ne constaterons que ce point indis-
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