Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 2.djvu/315

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Et ne serai jamais sujet à cette rage
1525Qui naît de voir son bien entre les mains d’autrui.

Ravi qu’aucun n’en ait ce que j’ai pu prétendre,
Puisqu’elle dit au monde un éternel adieu,
Comme je la donnois sans regret à Cléandre,
Je verrai sans regret qu’elle se donne à Dieu.


FIN DU CINQUIÈME ET DERNIER ACTE