' ·: .. .. ·o.· y.··s les ratcleaa1 m fant fouvent rm·lilllez. La ’Jecomie ··· t·fpece de Dyfmterie, dl le~ ~ux de fang , qu’oa . attribuë à la foiblelfe du foye, ~d qn Ja:it .di.J fang tenu , aqueùX & femblable a des laveures des . chairs’, cela. s’~ppelle o!dina:itemen.tJ’"i"x bq;•ti- ’f"r· La ttodicme e(pece a retenu le nom de DJ- fenuT’ie. & c’eft proprement un flux de fang avec des ttanchées. Il arrive quand les inteftins font corrodez, escorif’z, & fooven’t exulcere,z , &-que le fàng qui fon avec de grandes tr.tnchées , eft mefie d’un mutilagè- blanchaftre·, & d’une maüere puru" ientc. Il y a aulli une Dyfmt&ie appel~ Jimiprt, ’parce que le plus lOuvent elle rft fan~ b.evre , fà.ns contagion~ & qu:dle ne regne pomt plus en un . lieu qu’en un_ autre, au lieu que la Dy[umrie, <Jue .. l’on appelle M•ligrtt, eft le plus fouvent jointe à une bn"re peftîlentielle, & qu:~ne eft epidemique, ravageant. des Ptov1nces ent1cres , & fe mule- . pliant par une conugion mani_fefte. . DY S P· E P S 1E. f . f. Terme de. Medecine. DiHiculté d~ digerer , de la panicule Iii, , Difficilemdu, avec pein~ • & de .,l..- T"’ ,• Cuire. . . DY S P N E E. f. f. Terme de Medecme. DiHiculté de refrire( La Dyfpn~ a ’ti’tlis degrez, fçavoir; la courte haleme, l’afthme & l’orrhopnée. Ce dernier mor vient du ’Grec ;,.s ., , Droit , parce que ceux CJui ont cette maladie ; ne fçauroiem rc’Pirer que / • -- -- --- D Y·S . 339- ’debo~ ,les. bras élevt’z .&. .~ poittine .éteridui,. En general la caufe de l:OUS Ct’S ~rez dl le vice du •mouvemeht d’exparifion & cie conftriébon des pau~ mons , qui eltant empefché, olle la refpiration ·&’ caufe des inquiétudes ,.de5 rdferremem & la futro- cation,· Dyfimét eft un mot Grec .;{., .,.,., & eft fait de 11,, Malaifc:ment , & de orn’.. , Je refpire. DY SUR. 1 E . . f . f, Terme de Me~cine. DJIIiculré d’uriner, de J’" , Malai(çment , & de .;(•r ,Urine. La Dyfurie fait foufttir de grandes douleurs aux · . malades par les dfàm qu,’ils font m pilfam; & comme· cette dou1eur 1eur caufe une ferifation de t:haleur, on appelle com~unemc:nt .ce mal .Ar- li~,., li’Mrint. En dlèt , il {emble que l’urine brufie l’uretere en palfant. Cette maladie differe de la . ftran gurie. en ce que l’urine- - ’! ron aulli goute à .. goute , ma:is · .(ans interruption· & · en· là quantité "reqmfe, & qu’on ne relfeni: ,cie la douleur qu’nt ·p1ffilnr , & non devànt ny. aprés comme d.ans l.t ftrangurie. l.a caufe la plos &eqùente ile la Dy- furie , ·eft l’excori.ltion ou exulceration de la "e Î- 1ie , ou de fgn col , ou du canal urinàire, parce que l’urine qui lave ces parties excoriées uu t’xul- · cer ées , ·leur caufe en palrant ilne tres - vive doù-. leur. Le~cul qui exu1cere ou offènfe la vellie de. quelque a tre forte , caofe pareillement· des Dyfu- - ric:s op· llres. . . "’ .• ) ifD ij ....
