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Page:Corneille Théâtre Hémon tome2.djvu/206

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INTRODUCTION

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��San. doute la passion romah^ de la UbeHé ^t Pu^^fire

pou.- faire de 1- ,-^;^^£ .Y^^i;,,^:"^ la politique, on ne galanterie e.t si etroHemeni l'amour, ^ns.

comprena guère les §l^f^ZMe homme ùoni y^vle l>mour, Cmna n eui 1"^^: r.rutuc d orHr^^^^^-'p^i'i

lances, et le sauve ^" ^ . •„_ _'p<-4 ^lus é le g: né deîhe- lui-même, Cinna est toblen^^

roîsme î»fff£fett 7e Teul défaut que Ton ne saurait

pFévoirj3U^2j-ê- '^ ^,°" " !:\^ n^ là bie n des reproches

?aSgi3^^^|Jf^'oient, ave^

adresses à Corneille par ceux q^^^^^ Cinna: « Rassembleiidans

le poète «veut et ^m^ ^nno b irj^^ unna -g^^ ^g^i^^^^

ComrnêHTHTÏÏIeîiiier à ce que vous pou ^ê Cinna

vous-même ne le savez pas? ^ 9?^^""^ , ^.umu y-rTânoîiret

��i7uve»aW.iM!^fc£lS2!Êâ!ri^^ ni rien faire d'avilissant^ . »

V ÏSS Sicga du'a^ssl :?cïïa et M..in,e sont deux vrais scéléraU. ioat le tarriepentir ne peut passer pour smcere. .

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