Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/202

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traire, et pendant leſquelles on peut être tranquille.

Le Comte eſt allé paſſer deux jours à Verſailles. Pendant ce tems, mon amant l’a remplacé. Il ſembloit que je reſſentois plus de plaiſir avec lui, et que les glaces faiſoient mieux leur effet. On a bien raiſon de dire qu’une choſe défendue paroît toujours meilleure. Je finis vîte, mon coëffeur m’attend pour me couper les cheveux et me friſer ; c’eſt une opération très-longue, et qui m’ennuie d’avance. Adieu.

Lettre de Mademoiſelle Felmé.
Paris, ce 7 Décembre 1782.

Tu n’as ceſſé, mon cœur, de me vanter les jolis vers que t’envoyoit Julie, et de me mander combien cela