Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/252

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 32 )

obligée de boire des tiſanes. Au diable la maladie, elle m’ennuie furieuſement. Adieu. Il faut que j’entre dans le bain. Ton amie pour la vie. Je ne te ſouhaite pas un état pareil au mien.

CHANSON.

La paix eſt donc certaine :
Chantons tous le ſage Vergennes.
Sur les bords de la Seine
Nous faut la publier.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
Nous faut la publier ;

Et ne pas oublier
Que le ſage Vergennes
Chantons, etc.
Nous donne cette étrenne
Qu’on ne ſauroit payer.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur