Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/377

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 157 )

Que l’art en vain imite ;
Ses bois majeſtueux,
Où le ſilence habite,
Souvent ſont les heureux.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
Mais, aimable Thémire,

Quand je vois ta beauté,
Lorſque ton doux ſourire
Promet la volupté,
Dans mon ardeur nouvelle,
Je n’aime les boſquets,
Que quand ta voix m’appelle
Aux amoureux ſecrets.


Adieu, la préſidente m’envoye chercher et me marque de me rendre chez elle tout de ſuite.

Lettre de Mademoiſelle Victorine.
Paris, ce 2 Décembre 1783.


Enfin, ma bonne amie, pouſſée à bout par le Marquis ; et ſortant, il