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il n’y a pas besoin de l’affreux usages des oubliettes, avec lesquelles nous étions devenus familiers dans nos anciennes balades parmi les vieux châteaux [sic] ; mais avec une horreur frémissante nous déclinions la visite des tours humides et noires dans lesquelles elles se situent. En errant au-dessus, au milieu des ruines, un trou carré nous avait été signalé, que la tradition indique avoir servi pour le transport des provisions qui étaient attribuées au prisonnier Louis ; mais cela aurait jeté le masque en effet, et la légende se référait probablement à un plus ancien prisonnier, qui ont été nombreux, à gémir dans la même retraite misérable, victimes de la tyrannie, peut-être des tyrans eux-mêmes.

De la même manière, durant sept ans, Charles le Simple se languissait ici, et il est dit qu’il est mort de faim, son ravisseur Héribert ne souhaitait pas sa mort, il le gardait comme moyen de contrôler l’usurpateur de ses droits ; et il y une petite raison d’imaginer qu’il le trait avec toute la rigueur qu’était appliqué à un ennemi, aussi triste eut pu être le séjour. Il est certain cependant, que le trou angulaire au-dessus communique avec les cellules du bas, quel ait été le but, c’est aujourd’hui difficile à dire.