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Page:Costello - A pilgrimage to Auvergne from Picardy to Velay - A 30154 2.pdf/79

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LES PUYS

l’honneur du Général Désaix [sic] ; et c’est difficile de concevoir rien de plus magnifique que la position de cette place, et la large rue qui mène à elle, et continue le long d’un autre côté de la ville haute, descendant progressivement tout en bas.

De cette glorieuse élévation peuvent être vus deux points de vue, les plus larges et belles qu’aucun ville en France peut se vanter. Le design des parcs et rues mérite certainement un grand éloge ; mais comment cela est-il exécuté ? Les Palais devraient orner les rues si exquisément placées, à la place des irréguliers, miteux, sales, effrayants bâtiments, plus visibles depuis leur exposition : il y a seulement un ou deux bâtiments en tout dignes de leur situation, la Maison Dieu [sic] en est un, et la Bibliothèque {{Sic]] l’autre — tout entre et au-delà est moyen, jusqu’à la Préfecture, d’architecture majestueuse, termine la belle rue, et commence une autre également bien imaginé et également avortée dans son exécution.

Depuis cette Place du Taureau [sic] la Limagne sans bornes est vue dans son immense étendue, la Montagne de Chantourgue, et la tour couronnée point culminant de Mont-Ferrand, la montagne du Forez, et, sombre d’une distance de sept lieues, la ville de Thiers, que quiconque ne devrait manquer de voir en entrant en Auvergne, non pas pour ses manufactures de papier vantées, mais pour ses vallées exquises et