Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 12.djvu/162

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divise en plusieurs rameaux effilés, et dont les fleurs, d’un jaune livide, semblent faites pour ne s’épanouir que sur les tombeaux.

Le cortège qui suivait le cercueil du missionnaire était assez nombreux. On y voyait plusieurs sortes de nations, des Persans, des Turkmènes, des Arabes