Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 12.djvu/169

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les rives de la Volga ; ce qui avait rendu son passage presque impraticable. On ne pouvait le traverser que partie en nacelle, et partie à pied, en sautant de glaçon en glaçon. Les bateliers, accoutumés aux dangers de cette navigation, n’osaient aller d’un bord du fleuve à l’autre que pour l’appât