Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 2.djvu/285

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désirs, mais avec un air d’étonnement qui lui disait assez tout ce qu’elle trouvait d’extraordinaire dans cette mystérieuse défense. Peut-être mistriss Clare allait-elle ajouter un mot ; mais mistriss Birton, choquée de leur long à parte, ne lui en donna pas le temps, et prenant congé d’elle avec la plus froide politesse, elle pria Malvina de ne pas la faire attendre plus long-temps.


FIN DU TOME PREMIER