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Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 4.djvu/253

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sans cesse Malvina auprès de lui ; bientôt ce fut Malvina qui l’appela auprès d’elle : il la suivait dans le ciel, il l’y voyait heureuse, ne se plaignait plus, et, sûr de la rejoindre un jour, il attendit avec soumission l’instant où Dieu lui permit d’aller se réunir à la seule femme qu’il eût aimée sur la terre.


FIN DU TOME QUATRIÈME.