Aller au contenu

Page:Cottin - Claire d Albe (Maradan 1799).pdf/16

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

travailler, je le savais ; aussi avais-je laissé derrière moi tous mes essais. Cependant la beauté de l’habitation, le charme puissant des bois et des eaux, éveillèrent mon imagination et remuèrent mon cœur ; il ne me fallait qu’un mot pour tracer un nouveau plan ; ce mot me fut dit par une personne de la société, et qui a joué elle-même un rôle assez important dans cette histoire. Je lui demandai la permission d’écrire son récit, elle me l’accorda ; j’obtins celle de l’imprimer, et je me hâte d’en profiter. Je me hâte est le mot ; car ayant écrit tout d’un trait,