les du sauvetage à terre. En natation, tomber à l’eau et s’en tirer devint distinct de l’art d’y progresser et de s’y diriger. La leçon .jpg)
l’amiral comte de maigret
Vice-président d’honneur de la S. S. P.de boxe emprunta tour à tour des passes à la boxe française et à la boxe anglaise, voire même à la lutte[1] ; les différentes escrimes furent appelées à s’entr’aider. Le tir au vol prit rang de frère jumeau avec le tir à la cible. Quant à l’équitation, appuyée à la fois sur une gymnastique préalable et sur l’exercice du sabre[2], les nouveautés y furent telles que, non content de l’adhésion du président Roosevelt, je soumis encore mes idées à un sportsman français très connu pour son style raffiné et son attachement aux vieilles traditions. N’oubliez pas — excusez-moi, lecteurs, si je crois devoir le répéter — qu’il s’agit de méthodes populaires, rapides et simples permettant d’atteindre à la connaissance élémentaire d’un exercice en dehors de tout désir d’y exceller ; et que, par ailleurs, le tout est basé sur cette notion qu’il existe pour chaque exercice des
- ↑ J’avais commencé par écarter la lutte comme système distinct de défense aucune des écoles actuelles ne me donnant assez de sécurité au point de vue éducatif. Depuis lors j’ai entrepris avec le professeur Aug. Pomier d’emprunter aux différents styles (gréco romaine, lutte libre et même lutte japonaise) de quoi constituer une école nouvelle à laquelle les adolescents puissent avoir accès sans inconvénients sérieux. Ce travail n’est pas encore terminé
- ↑ L’étude des services immenses que l’escrime du sabre peut rendre dans l’apprentissage de l’équitation m’a amené à créer une méthode nouvelle qui s’applique à des cavaliers novices et à des montures quelconques. Cette méthode codifiée avec l’aide de M. Louis Pascaud a paru dans la Revue Olympique de février 1906 et aussi en brochure séparée. Elle a déjà été appliquée dans quelques établissements.
