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Page:Coupin - Essai sur J. L. David, peintre d'histoire, 1827.djvu/52

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SECONDE PÉRIODE


Premier séjour à Rome


Les réglemens de l'Académie imposaient aux pensionnaires l'obligation d'envoyer à Paris, tous les ans, une figure peinte; et dans le cours de leur pensionnat, une copie d'après un maître. Pour satisfaire à cette double condition, David fit:

Deux figures purement académique.
Un Saint Jérôme.
Une copie de la Cène du Valentin; figures à mi-corps, grandes comme nature.
Il fit, en outre:
1779. La peste de Saint Roch; figures de grande dimension. Ce tableau fut exposé à Paris en 1781.
Les funérailles de Patrocle; grande esquisse. Cette composition est remarquable par la chaleur de la pantomime, la vigueur du ton et l'énergie de la touche.
Un philosophe; tête d'étude.




TROISIÈME PÉRIODE
Depuis son retour en France jusqu'à son second voyage
d'Italie.
1780. Bélisaire aveugle, réduit à mendier dans les rues de Byzance.