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LE MARIAGE D’HERMANCE

— Mais, objecta le petit professeur dont la mine commençait à se rasséréner, il est peut-être un peu tard…

— Oh, repartit le jeune homme, je sais ce que vous allez me répondre : la saison est fort avancée et le cours ne comporte plus guère que deux ou trois séances. Qu’à cela ne tienne ! Je n’ai besoin que de quelques leçons de perfectionnement pour lesquelles, du reste, j’entends payer la cotisation entière…

— Monsieur, fit le bonhomme avec un sourire aimable, si vous désirez…

— Tenez, interrompit de nouveau Dujardin, c’est précisément la valse allemande que vous venez d’expliquer avec tant de méthode qui est mon point faible. Je ne suis pas fichu — oh pardon — je ne suis pas capable d’attraper le « glissé ». C’est prodigieusement difficile…

— Mais non, mais non, répondit M.  Van