Page:Courouble - Les Cadets du Brabant (La famille Kaekebroeck), 1903.djvu/48

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II


Il était près de neuf heures, quand Ferdinand Mosselman entra tout essoufflé au Lion Rouge.

Il salua de loin Mme et Mlle Decock qui trônaient au comptoir derrière les points d’interrogation de leurs pompes, et avisant la jeune Stijntje en train de frotter une table avec son torchon :

— Ces messieurs sont là-haut ?

— Oeie oui, répondit la jolie serveuse, déjà bien une grosse demi-heure. Allez vite seulement !