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ATLANTIQUE IDYLLE

ses cakes délicieux entretenaient ma patience.

— Très bien ! m’écriai-je en simulant une vive satisfaction.

Il s’excusait, toujours grattant ; mais je n’en voulais pas démordre : il était vraiment un très bon élève. De ce train-là, il allait tantôt savoir le français en arrivant à New-York !

Cependant la forme se nettoyait ; l’homme ne raclait plus que mollement et bientôt il ne racla plus. Je pousse un soupir d’aise. Alors mon ami dépose son couteau et, m’adressant un ironique clin-d’œil, ouvre furtivement une petite armoire. Il en retire trois grandes portions d’un gâteau dit « pâte de Vienne » et me les offre avec bonté.

— Oh c’est trop, c’est trop ! fais-je en les coulant dans mes vastes poches. À demain, my friend !

Et je m’échappe sans en dire davantage, tant j’ai peur de froisser cet