Page:Courteline - Boubouroche.djvu/163

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Pendant un mois, les choses continuèrent de ce train. Deux, trois, quatre fois la semaine, plus ou moins, Angèle m’arrivait sans prévenir ; nous passions la journée ensemble, après quoi je filais au journal, où souvent je trouvais Laurianne m’attendant depuis un quart d’heure en fumant des cigarettes dans la salle de rédaction. Naturellement nous rentrions dîner, puis nous achevions