Page:Courteline - Le Train de 8 h 47, 1890.djvu/263

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— Tiens donc ! vous croyez peut-être comme ça q’la compagnie est à vot’ disposition ? Fallait pas arriver en retard ; tant pis pour vous.

— Pourtant…

La porte retomba. Les deux soldats se retrouvèrent seuls.

Un coup de sifflet déchira l’air, puis la machine s’ébranla, le train de 4 heures quittait la gare.

— Allons, dit Croquebol, fumés ! Nous v’là marrons pour la s’conde fois !