Page:Courteline - Le Train de 8 h 47, 1890.djvu/335

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ÉPILOGUE


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

— Ah vraiment ! fit La Guillaumette avec une ironie hautaine ; c’est pas à toi que je viendrai conter ça ?

— Non ! fit sèchement Lantibout ; ça ne prend pas !

La Guillaumette le regarda dans le blanc de l’œil, rageant à froid, réduit à l’impuissance depuis que ses deux galons de laine avaient fait retour au magasin. Avec quelle joie sans mélange, sans cette circonstance fâcheuse, il lui eût insufflé la foi, bon gré mal gré, greffée sur quatre jours de consigne ! Mais il dut se borner à sourire de pitié et, ayant salivé de côté, par mépris :