Aller au contenu

Page:Courteline - Messieurs les ronds-de-cuir, 1893.djvu/15

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

nera de la bouche convulsée, des yeux larmoyants, des épaules secouées, du ventre saccadé, ainsi que nous nous étonnons nous-mêmes pour les singuliers usages des premiers hommes ; mais je supplie les personnes éclairées de réfléchir au grand intérêt que présente un document historique, de quelque ordre qu’il soit.

Quand le rire, donc, aura disparu, on en trouvera une représentation complète dans les œuvres de Georges Courteline, et en particulier dans ses livres : Le Train de 8 h. 47, Potiron, Lidoire et la Biscotte, Boubouroche, Les Ronds-de-Cuir.

Cette représentation du rire sera complète, car elle unit le comique des anciens à la variété d’hilarité qui fut spéciale au dix-neuvième siècle.

Nous ne savons pas depuis quand l’incohérence dans la vision des choses amenée par la