Page:Courval - Les Satyres, 1627.djvu/99

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’MÁts "#*rrt finie & ms calamité* , ~j H).14ers efconiq frifin reuerke, .â. 1" « yf’ » ï TM"* — » corps fa m., ur 8mmr, de laffnbltr & perdre de p, ttlB t4e fin dapporter /V* an feis qui efl emeint ? • l’Hyper fA.Dè &, Iot grdr/de froIdure, En lifte fi veflir d vne double fourure’ , sinon le corps le mettre en fueur, Dtfiperle, efPrits i. ir le Çaùrf L’y’Mé qui vient des Eflars efl pli ufible, Ce ? 11narma. mi, “m qui mm flatte au p MAu deJpJtlbs 1, 1 dOllcttÚ"de/fs Ilpp.c(lsUU

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Giflle martel poifàn caufe de nos mal-beurs-On 4 vers ^Aquilon vne Ifle eïefcouuerte, , Oùcertajj d, rbrecroill, dontlot fucilte et fi. ym. Et f, 71, 7belle en tout temps7“i Vcmjjes P us Sont efmeu* 4e cueilhr fes beaux [ruitis Sansen >fir Wnger, fit racme eStant pleine

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Tout¿f¿(r)ft’f, tle ftrpens,., defJuels la chdade balrine ^ha"jf’ & IKKI en. yen cet arbre merueilleux. Mats mfiUefin fruig piaïfant.^r mieueux. , " w De mcfme le profit apparent qu’onrecueille ZJes11tntcsdes Eclats , ell’(a trts-vtrte f mille ’:, :  : De cet arbre, & cefrmd S arable aux *“* ~-~-~ Haie, ne dOffaers^uitres-mefchans foftnne.t.

Et « mme^rais Serpent la racine. empoifinni^ De cet wrbre Vtàfl t ; qwfcmkbit 4 l’EjUt Si Vtilc & p, Uiftnt : Hais en fin refrlui V Vn ddqr&cuxpoifon, àont ji^ douce dpterrume JLmpotfQHne U Çrtnce, &.ltfang vifaihtme. ’0* C"r S.de cé*tEflat cgr ces Iii. es làproi~s b. corpsde cétEtfat car ces It^es Ùmns < 7 , Kon^entfon Cccur 9