Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/52

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a fait faire à la raison, et la forte impulsion qu’il a donnée à son siècle… »

Cet éloge un peu trop exagéré perdra un peu de sa valeur en lisant le jugement trop sévère qu’a porté de son côté l’auteur des Trois Siècles sur Diderot, et celui de M. Palissot dans ses Mémoires sur la Littérature.

Quoi qu’il en soit, l’éditeur de l’Encyclopédie n’est point un homme ordinaire, et la postérité saura apprécier avec justice le fondateur de cet édifice immense, quoiqu’imparfait.