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Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/85

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de bienveillance, et rarement il manquait de l’obtenir.



Diderot disait, à l’occasion d’Abbadie, de Ditton et de Holland, dont il estimait les lumières : « Il est essentiel à l’intérêt, et même à l’honneur de la religion, qu’il n’y ait que les esprits supérieurs qui se chargent de combattre les incrédules : quant aux autres, qui peuvent avoir autant et même plus de zèle avec moins de talens, ils devraient se contenter de lever leurs mains vers le ciel pendant l’action. »



Parlant du père Porée, il dit dans une de ses lettres : « Il avait certes de l’esprit et du goût, et l’on peut dire de lui que ce fut le dernier des Grecs ; mais ce Philoomène des rhéteurs