Page:Couté - La Chanson d’un gas qu’a mal tourné.djvu/123

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L’ODEUR DU FUMIER


C’est eun’ volé’ d’môssieux d’Paris
Et d’péquit’s dam’s en grand’s touélettes
Qui me r’gard’nt curer l’écurie
Et les « têts » ousque gît’nt les bêtes :
Hein ?… de quoué qu’c’est, les villotiers ?
Vous faisez pouah ! en r’grichant l’nez
Au-d’ssus d’la litière embernée ?
Vous trouvez qu’i’ pu’, mon feumier ?

Ah ! bon Guieu, oui, l’sacré cochon !
J’en prends pus avec mes narines
Qu’avec les deux dents d’mon fourchon
Par oùsque l’jus i’dégouline,
I’ pu’ franch’ment, les villotiers !
Mais vous comprendrez ben eun’ chouse :