obligé de disputer contre elle jusques à des faveurs si peu importantes qu’il n’avait pas encore cru les lui devoir demander. Elle se défendait toujours contre lui, lorsqu’un char, qu’ils entendirent arrêter, suspendit l’attaque et la résistance.
— « Voilà sans doute mes gens, Monsieur, lui dit-elle, et je pars. Je ne vous presse pas de réfléchir sur ce qui s’est passé entre nous, cela vous serait inutile ; plus on est capable d’un mauvais procédé, moins on est fait pour le sentir ! »
« En achevant ces paroles, elle se leva, et elle allait sortir, lorsque ce que je dirai demain à Votre Majesté la força de demeurer.
— Pourquoi demain ? dit le Sultan ; pensez-vous que vous ne me le dissiez pas aujourd’hui, si j’en avais la fantaisie ? Heureusement pour vous, je n’ai sur tout ceci aucune curiosité ; et, soit demain, soit un autre jour, tout cela m’est indifférent.