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Page:Crémieux et Blum, La Jolie Parfumeuse.djvu/40

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CHŒUR.
––––––––Voici le couvre-feu !
––––––––––––––––––Etc.
ROSE, à Bavolet.
––––––Daignerez-vous enfin me dire
––––––Dans quel mystérieux logis
––––––Nous devons être réunis
––––––Et qui doit m’y conduire ?
BAVOLET.
I.
––––––Un peu de patience, ma chère,
––––––Et pour voir s’éclaircir soudain
––––––Le mot de ce profond mystère
––––––––––Prenez la main
––––––––––De mon parrain !
CHŒUR.
––––––––––Prenez la main,
––––––––––––––––––Etc.
BAVOLET.
II.
––––––Les grands-parents r’conduis’la fille.
––––––Moi, je m’en chercherais en vain,
––––––Je n’me connais pas de famille.
––––––––––Prenez la main
––––––––––De mon parrain !
CHŒUR.
––––––––––Prenez la main,
––––––––––––––––––Etc.
LA COCARDIÈRE.
––––––Cette mission, je m’en flatte
––––––Demande une âme délicate.
––––––J’ai le cœur noble et généreux
––––––Et vous ne pouviez tomber mieux.
ROSE, à La Cocardière.
––––––––Allons, partons ensemble,
––––––––Puisque l’usag’le veut ainsi.
––––––––Emmenez-moi chez mon mari !