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Cornarino.
Non, je ne m’en irai pas !… l’amour, le désespoir, la fatalité, la peur, tout cela me donne du courage !
Baptiste.
Ah ! monsieur, je ne vous reconnais pas !
Cornarino.
Suis-moi !
Baptiste.
Où ?…
Cornarino, désignant son palais.
Là !…
Baptiste.
Qu’allez-vous faire ?
Cornarino.
Je n’en sais rien !… mais le ciel m’inspirera ?… Viens !
Il va à la porte du palais.
Baptiste, le suivant.
Oh ! les femmes ! les femmes !
Cornarino, tirant une clé énorme et essayant vainement d’ouvrir la porte.
Les misérables ! ils ont changé la serrure !
À ce moment, le refrain de l’amiral Cornarino se fait entendre de nouveau. — Une troupe de gens du peuple, conduits par Cascadetto, défile au fond du théâtre, de droite à gauche, en chantant la complainte. — Cornarino et Baptiste escaladent le balcon du palais. (Le rideau tombe.)