Cette page a été validée par deux contributeurs.
Dzing ! dzing ! préparons-nous !
Abattons-les à nos genoux !
Franrusto, bas à Astolfo.
Sans trembler et sans tarder…
Astolfo, bas.
Nous allons les poignarder !
Cornarino et Baptiste, à part.
Cet instant sera bien doux !
Tous les quatre.
Ils tomberont sous nos coups !
Baptiste, bas.
J’aurais peur s’ils n’avaient pas peur.
Cornarino, de même.
Puisqu’ils ont peur, ayons du cœur !
Astolfo, de même.
Allons montrons du caractère,
Franrusto, de même.
En les attaquant par derrière.
Tu m’as compris.
Astolfo, bas.
Les voilà pris !
Cornarino, bas en montrant son poignard.
L’affaire est faite.
Franrusto, de même,
Ma dague est prête !
Ensemble, très-gaiement.
Dzing ! dzing ! préparons-nous !
Abattons-les à nos genoux !
Ils s’avancent les uns contre les autres, les poignards levés.
Les deux hommes.
Ah ! bah ! oui-dà ! |