De Levis-Mirepoix, Lautrec, Lomagne et Ventadour, 1045, (Dominus et Castellanus)
De Bourdelles, 1044, (Vice Dominus ou Vidame)
De Froulay-Téssé-Beaumanoir et Lavardin, 1065, (Dominus)
De Chatillon-Chatillon, 1076, (Noble Beer)
De Clermont-Clermont, 1080, (Comes)
De Montaynard, 1085, avec la qualité de Mestral[1].
D’Ornano de Cinarca, de Cistrie et de Montlaur, 1086, par citation dans une bulle de 1199, où l’on voit pour ancêtre direct un Comte de Corse.
De Clermont de Mont-Saint-Jean, de Tonnerre, de Montoison et Thoury, 1096.
De Clermont d’Amboise et de Gallerande, 1098 (Eques).
De Bruyères-Chalabre, 1098, (Dom. Castellanus).
De Mathefélon de la Tour d’Oncieux, 1098, (Domicellus).
De Saulx-Tavannes, 1098, avec le titre de Cuens, ou Comte.
De la Trémoille de Tarente, de Talmont, d’Olonne et de Noiremoutier, 1099.
- ↑ Qualification très-ancienne au royaume d’Arles, et qu’on retrouve surtout en Dauphiné du temps des Dauphins de la première race, ou de la maison d’Albon. Je pense qu’elle devait être analogue à celle de Magistrat féodal héréditaire, ou Seigneur haut-justicier. Il est singulier que Chorier et Salvaing de Boissieu n’en parlent pas. Chorier écrit ou traduit toujours Seigneur pour Mestral, mais on trouve souvent ces deux titres appliqués très-distinctement sur une même personne et dans un même acte.