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Page:Crevel - Mon corps et moi (3e édition), 1926.djvu/183

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cheveux, oreille, plante des pieds, mains, fesses, bouche, etc.

Tout était très simple.

Une sorte d’onanisme impérieux et dont le besoin, à de certaines heures, pouvait contraindre aux plus grandes folies devait donner l’illusion d’une volonté supraterrestre. La force en était supérieure à toutes les autres, à celles qu’on dit simplement humaines. Mon désarroi est tel que j’ai toujours demandé aux plus beaux yeux d’être intelligents, et les êtres qui m’ont hanté m’ont hanté comme des pensées…