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LE COFFRET DE SANTAL
Corps musqués sous la gaze où l’or lamé s’étale,
Nefs, haschisch… j’ai rêvé l’ivresse orientale,
Et mon rêve s’incarne en ta beauté fatale.
Car, plus encor qu’en mes plus fantastiques vœux,
J’ai trouvé de parfums dans l’or de tes cheveux,
D’ivresse à m’entourer de tes beaux bras nerveux.