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LE COFFRET DE SANTAL
L’odeur de tes cheveux, la blancheur de tes dents,
Tes souples soubresauts et tes soupirs grondants,
Tes baisers inquiets de lionne joueuse
M’ont, à la fois, donné la peur et le désir
De voir finir, après l’éblouissant plaisir,
Par l’éternelle mort, la nuit tumultueuse.