Page:Cros - Le Collier de griffes, 1908.djvu/132

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Arrêtons son rêve menteur.
Nulle langueur, nulle senteur,
Acier, n’empêchera ton œuvre.

Ô lâcheté ! le lendemain
J’aspirais l’odeur de jasmin
De ma triomphante couleuvre !