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la radiologie
de l’ampoule, symétriques par rapport à la verticale qui passe par le projectile (fig. II). L’écart des deux images peut se mesurer avec une grande précision sur la plaque (pl. XII).
Contrairement à ce que l’on aurait pu craindre, la prise de deux
Fig. II.
A | Plaque radiographique. | O | 1re position de l’image. | |
F | 1re position du foyer. | O’ | 2e position de l’image. | |
F’ | 2e position du foyer. | δ | Distance de l’ampoule à la plaque. | |
P | Projectile. | x | Distance du projectile à la plaque | |
00’ = d | FF’ = D |
radiographies sur une même plaque ne donne point lieu à une confusion exagérée, et l’on distingue très bien les détails relatifs à chacune des images.
La méthode de la double image permet de situer le projectile par rapport à des repères anatomiques. Les os, comme le projectile, donnent deux images dont l’écart permet de juger de la profondeur. Ainsi l’on peut se rendre compte si un projectile est placé au-dessus ou au-dessous d’un os voisin, indication particu-