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LES TENDRES ÉPIGRAMMES
voir Kalyce à l’examen, timide en
sa nudité, sans qu’un joyeux désir
lui durcisse les seins et la croupe,
lui fasse frétiller la langue et le clitoris,
a l’âme bien sotte ou le corps
bien fatigué.
Une centaine de tetins admirateurs se tendent vers Kalyce.
Mais moi, je perds la tête.
Alcmène s’est coiffée de fleurs des champs. Je les lui arrache, j’enguirlande à genoux le trésor de Kalyce qui se tient assise comme une enfant sage, les yeux baissés, et l’abeille de ma bouche, violant les statuts réformés, butine passionnément.
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