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Page:Cydno la Lesbienne - Les tendres épigrammes, 1922.djvu/126

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LES TENDRES ÉPIGRAMMES


prononce l’oraison funèbre d’Hippolyte, et Mnémosyne celle de Déjanire.

Aucune des sœurs n’oubliera Hippolyte et Déjanire. Plusieurs années de suite, quand reviendra l’anniversaire, nous irons chanter en chœur les nénies et répandre des roses rouges à la place d’où nous jetâmes les cendres unanimes.