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Page:Cydno la Lesbienne - Les tendres épigrammes, 1922.djvu/128

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LES TENDRES ÉPIGRAMMES


la colline des Géantes et à travers le bois des Tribades, la bacchanale de la rupture du deuil.

Sapphô m’est apparue en songe la nuit dernière et, comme je lui récitais la précédente épigramme, elle m’a interrompue en disant :

— « Tais-toi, petite ! Il n’y a pas de Champs-Élysées. Mais Hippolyte et Déjanire sont plus heureuses que vous toutes. Ma bénédiction les protège contre le sommeil. Leurs pensées jointes s’entr’aiment, immortelles, au sein du Grand Pan. »