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Page:Cydno la Lesbienne - Les tendres épigrammes, 1922.djvu/158

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LX

SUPPLIQUE


Lalagé, pardonne-moi ces trois jours de bouderie !

Cette vieille entremetteuse de Sophrona m’avait dit que tu racontais du mal de moi.

Voilà pourquoi je ne te saluais plus, en passant devant tes glycines et tes rhododendrons.

Pardonne-moi, sourire de Lesbos !